/ oi / cr / 2008-07-04-congres
Ordre du jour:
Engagement fort des collectivités territoriales (abander à 50% de l'état) + pôle de compétitivité et Chambre de Commerce. délib à l'unnimité pour appuyer le projet. conférence de presse hier, expression publique de leur soutien. Document plus “marketing”, rend le dossier plus lisible et moins académique. Décision le 11 juillet (avant ou après le CA ?). Il y a 20 dossiers au deuxième tour, mais on est dans la short liste. Ce qui aurait été raisonnable serait d'accompagner l'ensemble des universités françaises. Ce qui est intéressant, du point de vue local est un changement fondamental du CG et surtout de la CUDL par rapport aux universités lilloises.
I. Sharour: Bilan du recrutement de cette année puis ensuite l'expression des besoins (cf. précédent CAR). Bcp de candidats sur les MCF, seuls 2 postes avec moins de 6 candidats. Sur les 44 recrutement, 13 de Lille I (1 sur 3, a fait sa thèse à Lille I). Sur 7 postes, 1 seul candidat, 3 postes 2 candidats et 3 postes à 3 candidats. Peu de candidats en PR. questionnement sur le vivier disponible dans certaines disciplines. comment faire pour mettre les postes où il y a des candidats. les profils sont trop serrés ? élargir les profils ? discussion à faire avec les labos pour les PR.
Y. Cassard: côté BIATOSS, procédure un peu différente. Proposition d'un certain nombre de réhaussement contre des suppressions de B et/ou C. objectif: améliorer le niveau d'encadrement de l'université. opétation s'élevant à 152kE. après la décision du CA, on a classé la liste de ces propositions de poste: DRH, SCD (2), SCAS, Ecole Doctorale, Secrétariat. sur la liste de 12 le ministère s'est arrêté aux 7 premiers postes soit 89kE (1/1000 de notre masse salariale !) Pour les ASU on a des arrivées au 01/09, pour les ITRF résultats en cours, arrivée au 01/12/08 !
Pour la campagne 2009, nouveaux outils (merci au CRI), on dématérialise:
concertation sur les besoins par structure (tous les personnels) - délégation des saisies - validation par le responsable de la structure - visibilité des besoins validés par tous les personnels (comment ? conseil de composante ?) - synthèse (par composante, laboratoire et secteur de recherche)
Différentes phases: 406 fiches besoins saisies et 48 synthèses. concertation avec les services et directeurs de composantes et secteur recherche. affectation des moyens vacants.
I.Sharour: cartographie assez précise de notre potentiel de recherche. Meilleure idée de nos effectifs et potentiel des labos. 1400 chercheurs et ens-ch déclarés dans les laboratoires, 900 en poste à Lille I, 500 d'organismes de recherche ou d'autres établissements. bon signe d'attractivité. 90% de publiants. Côté biatoss, 400 en tout et 200 en poste à Lille I. ratio biatoss/chercheur faible (28%), donc tâches assumées par des ens-ch. support adm et technique à apporter.
Pour l'année prochaine, on commence à avoir une idée des postes vacants: 76 déclarés (28 PR et 47 MCF et 1 assistant), 5 postes non pourvus, 1 décés, 3 démissions, 3 mutations, 20 promotions, 48 départs à la retraite. Composantes non excédentaires:
biologie: 11 postes vacants, cueep 3 postes, polytech'lille 9 postes, géo 2 postes, iae 2 postes, IEEA 5 postes, IUT A 11 postes, SES 13 postes, SC Terre 2 postes, Wimereux 1 poste. Composantes plutôt excédentaires:
chimie 3 postes (publiants), maths 7 postes (publiants), physique 7 (1 discutable). La question des redéploiement n'est pas évidente. regarder poste par poste avec les directeurs de composantes comment procéder.
S.Maouche: j'ai demandé aux directeurs de composante de faire remonter les priorités en enseignement => technicien ou PRAG en priorité. Principalement des demandes en IATOSS.
Y. Cassard: étude des taux d'encadrement A 27.9% (22.2 national), B 22.6% (23.4), C 45.1% (52.7) mais sur les ITRF la différence est encore plus grande. N'est-ce pas parce que l'université compense le manque d'investissement de la part des autres organismes. Eudiants/BIATOSS: Lille I 22.11% deriière l'UTC 16.04 et lille 2, 40.71 Lille 3 9 Lille I 15% d'emploi gagé (à cause de la FC) Ces éléments montrent que l'on est dans une situation légèrement au dessus des moyennes nationales. Situation actuelle: 12 postes vacants et 16 occupés par des CDD (il y a aussi 15 postes gagés mais nécessité d'avoir des ressources pérennes). marges de manoeuvre: travailler sur une vision pluri-annuelle. explorer des pistes de mutualisation en étant attentif à la qualité de service. aspect organisation interne, notamment la structure des emplois (adaptation aux missions, réhaussement de poste). rencontre avec les dir. de composantes la semaine prochaine. Pas pris en compte: réaorganisation des services sur la gestion du patrimoine et le pilotage (SIFAC et nouvelles compétences en 2010).
I. Sharour: sur les besoins en recherche, demande au laboratoire d'une vision pluri-annuelle. Travail coordonné par les CMR. définir une ou deux grandes priorités par secteur. secteur biosanté (UFR Bio principalement, 8 unités de recherche + IRI et IBL), 7 postes vacants poste de PR sur imagierie (?), ainsi qu'au labo immuno (?), biatoss animalerie et secrétariat. secteur cerla (4 labos): besoins essentiellement biatoss, ingénieur pour la centrale de fibre photonique à l'IRCICA et gestionnaire du parc informatique d'ICARE (CNES, Région, CNRS). secteur STIC (4 labos): intelligence ambiante, hard et soft. biologie, hard et soft. un poste d'ingénieur pour une plateforme de réseaux de capteurs et gigahertz + gestion administrative pour accompagner la mise en place de l'institut. secteur agroalimentaire (? labos): essentiellement en BIATOSS pour les serres + IE sur analyse biomolécule et géosystème pour un technicien. secteur maths/méca (3 labos): demande de création domaine du transport (PR pour Itrans) et au niveau du secrétariat. secteur Chevreul(?): ? secteur SHS: compliqué car bcp de labos et de composantes. priorités par laboratoire.
B.Houzet: intervention sur le réhaussement des personnels. a terme il n'y aura que des A, pour le reste on externalisera (cf. comme le CNRS). l'état ne fait pas son boulot et nous on fait comme on peut pour assumer.
P.Jacques: revenir sur les BIATOSS et notion de synergie. contrats de plus en plus nombreux, nous allons embaucher de plus en plus sur contrat. combiner ces deux approches de financement; veiller à ce que ces personnels puissent être stabilisé
Y.Secq: et la question des personnels précaires ? pour les BIATOSS, pour précaires ens et recherche ? Quand aura-t-on une présentation globale ?
H.Jayet: plus précis sur la politique de redéploiement. Facile d'avoir des chercheurs actifs quand la composante n'est pas surchargée. comment chercher cette contradiction ?
F.Elouard (?doctorant CLERSEE): réunion doctorant, étude OFIP, les doctorants s'insèrent toujours autant dans la recherche mais toujours plus de manière précaire. des besoins dans la recherche, de personnels, mais toujours plus pourvus par des postes précaires (ATER, PostDoc). Qu'est-ce qui va être fait à ce niveau là ?
P.Rollet: on est plutôt à l'écoute, les arbitrages sont plutôt compliqués. Les contraintes évoluent de nouvelles missions apparaîssent et on doit mettre en adéquation les moyens pour atteindre ces objectifs. Il y a des aspirations fortes d'évolution des personnels dans leur carrière. On peut le faire avec les concours, mais le repyramidage est aussi une solution. indépendamment d'un contexte “managériale” promut au niveau national, on a cette obligation de penser mieux les emplois. L'opération de cette année même tronquée à parmi de répondre à des besoins récurrents.
Y. Cassard: tort de parler de repyramidage sur des personnes, car cela se fait sur les postes. ensuite les personnes passent les concours. Sauf pour 2 personnes pour qui les missions sont supérieures aux postes occupés. Les besoins exprimés en terme de mission mais aussi d'évolution de carrière.
Contractuels 10 mois: 24 (<1an), 23(1 et 2 ans), 11 (2 et 3ans), 5, 7, 5, 7, 2, 1 (8 et 9 ans pour le dernier).
P.Rollet: politique de redéploiement suivie depuis plusieurs années, de façon assez novatrice et efficace. On joue sur les emplois non actifs en recherche sans toucher au potentiel de recherche. Une chose observée, dans les composants excédentaires, à un moment donné on touche à des capacités d'encadrement sur la formation. N'a pas conduit à diminuer la carence dans les composantes très déficitaire car augmentation concommittante du nombre d'étudiants. Cette année, possibilités de redéploiement semblent a priori très limitées. Conçoit l'inquiétude des composantes déficitaires, je la connais bien. Nous avons à réfléchir autrement. Sur la création de poste, pas d'information précise. L'année passée nous étions à 0 création, on craint de passer à un solde négatif.
M. Naït: sur la question des personnels biatoss, il faut voir cela dans le cadre de la RGPP. outil qui va casser le service publique. l'état veut supprimer la catégorie C qui jouait un rôle d'ascenceur social. aspect politique des choses. sur les postes d'ens-ch, inquiétude partagée, on est dans une situation où le gouvernement cherche à diminuer le nombre de fonctionnaire. L'education nationale a pris des coups dans le secondaire, cela va sûrement nous arriver. avec la LRU, bcp d'univ. seraient tenté de la fuite en avant en recrutant des ens. purs sur la base de la masse salariale sur des contrats privés. Réfléchir à contrer ce type de dérive.
P. Louart: partage cette inquiétude, être vigilant. soucis de redonner de la force aux universités ne peut pas passer par une perte de poste. Programme campus: unification dans les 5 ans. Il y a des postes perdus. personnes qui ont du mal à construire un ens et rech. Enseignants de gestion à lille 3 qui ne demanderaient pas mieux de venir enseigner à l'USTL. du coup ils construisent des programmes de gestion qui ne fonctionnent pas. dommageable pour eux et pour nous. demander à la DGES des transferts de postes dans le cadre des PRES. DGES plutôt réservée. dans une logique de transition, ne peut-on imaginer des partages de services pour permettre à des gens de participer à ce à quoi ils vont participer dans 3 ou 4 ans ?
P. Dréan: expression plus précise de votre politique. on est quand même dans un congrès ! Expression plus détaillée de votre conception des chose ?
VP Etudiant: suite à l'intervention de Fabien. On a des besoins et un développement de la précarité. On doit avoir une certaine marge de manoeuvre puisque l'on est maintenant “autonome”. En tant que directeur de la MDE, on nous a pas demandé nos besoins, mais un régisseur nous aiderait beaucoup.
P.Rollet: Pierre sur ce type de mutualisation, on a réussi ce genre de choses en recherche. nombre important d'ens-ch qui ne sont pas l'USTL. Je pense qu'au niveau des 3 universités lilloises si on peut identifier ce type de situation, on peut discuter assez facilement et rapidement. Encore faut-il être averti. Stéphane, la campagne des emplois on a eu une phase de consultation assez élaborée, améliorée par rapport à l'an dernier. Aujourd'hui ce que l'on voulait faire, c'est d'avoir des visions différentes ou des éclairages différents.
C.Vuylsteker: compris que LRU pseudo autonomie est un leurre. recrutement personnel de la responsabilité de l'établissement. Pécresse a annoncé le CC en L dans tous les établissement, sans abondement de moyens. On augmente les contraintes sans créer voir renouveler des postes. cela va aboutir très vite à des emplois contractuels et des modulations de services. on voit le piège dans lequel on est.
Y.Secq: un éclairage un peu différent: exemple, manque en Maths à l'IUT (1 permanent, 1 en délégation depuis 4 ou 5 ans, un directeur de composante ... 2 ATER depuis des années), pourquoi ne pas déplacer le poste de l'UFR à l'IUT (ou vice versa selon la situation). Il doit y avoir d'autres situations similaires à l'université sur lequel il y a une marge de manoeuvre.
P.Rollet: quand on regarde le comportement du ministère et de la DGES, je les trouve plus tatillons et encadrants qu'avant. Encore une fois, dans un cadre qui est contraint et qui n'est pas celui que l'on souhaiterait, nous avons quelques marges nous permettant de porter nos projets. Un certain nombre de Président s'interroge sur ce que veut dire le terme “autonomie”. Sur la MDE, on a quand même largement discuté ensemble des besoins. L'accompagnement administratif n'est pas totalement satisfaisant, on sait qu'il y a besoin d'un régisseur. nécessité de personnels pour l'animation et la gestion, nous irons dans ce sens là.
P. Rollet: Présentation générale de la “méthode” (cf. document préparatoire). Pour l'offre de formation, remontée pour le 11 juillet ! version finale pour le 15 septembre !
Et il y a le projet d'établissement, c'est plus qu'une feuille de route. Définition de nos objectifs, de nos actions pour les atteindre et de résultats auxquels ont est attaché. Sera accompagné d'un document bilan. Avant, bilan très détaillé et descriptif, beaucoup de pages mais pas vraiment lus. exercice pour le Ministère. On a une vision d'un bilan qui est stratégique. demande un document exprimant les objectifs que l'établissement s'est donné et la façon dont ils ont été remplis ou pas. ce que l'AERES nous demande, c'est en même temps d'être évaluateur de ce document. Bilan en train d'être réalisé sous la responsabilité des VP avec les services. On vous propose un document ouvert, non définitif. Ne pas être enfermé dans une rédaction. Comporte pour chaque volet les enjeux importants et définit nos objectifs. Vous avez la possibilité de compléter les lignes ou les colonnes. Aucune obligation de s'approprier l'ensemble des documents (sauf pour les conseillers).
Pas question de faire remonter de très nombreuses propositions car nous serions incapables de les traiter. On peut imaginer qu'il y ait des désaccord, c'est à l'équipe de direction de prendre ses responsabilité et il y aura une discussion au sein du CA (Rq perso; et je des autres conseils avant je suppose). L'objectif est cependant d'atteindre le plus grand consensus sur le projet d'établissement pour que l'on aboutisse à une synthèse d'une trentaine de pages pour l'AERES.
R.Litwak: comment va se faire la synthèse au niveau des laboratoires et composantes ? Le responsable ou les conseils de composantes ?
C.Vuylsteker: bizarre de réfléchir sur le projet sans avoir le bilan. Aucun retour sur le LMD. Besoin de savoir comment s'est passé le précédent, c'est ainsi que l'on peut avancer. Comment répondre en 17 jours en juillet ? qui est réellement consulté ?
Y.Secq: toujours pas de bilan, mais on travaille déjà la “nouvelle” offre de formation. Courir comme des dératés les yeux fermés, allons-nous dans la bonne direction ? (questions.remarques déjà faites par Christophe Remarque générale: ce n'est pas sérieux de travailler ainsi dans l'urgence. Ne sait-on pas dire non ? Ne sommes nous pas suffisamment sage pour répondre qu'il nous faut x mois pour préparer sérieusement notre dossier ? Sur le projet, proposition concrète: Objectifs, stratégie ... et les critères d'évaluation ?
S.Ente: j'ai été mandaté pour écrire un rapport sur la reconnaissance de l'implication des étudiants. Aimerait pouvoir présenter lors d'un prochain CEVU ou CA les conclusions du rapport.
P.Rollet: On a essayé d'anticiper un raccourcicement des délais, mais il a été plus court encore. Pour la recherche on a su assez rapidement ce qu'il fallait faire, sur les aspects formation on a eu des indications très tardives. nous a conduit à travailler sur la structuration des maquettes qui permettent de prendre en compte les exigences de l'AERES. C'est la même chose pour l'aspect pilotage de l'établissement. Les présidents de la vague D ont réagi, mais fin de non recevoir pour l'instant. Les discussions sérieuses n'ont commencé que le 28 mai. Qq jours plus tard on nous a précisé que ce n'était pas du tout ça. L'établissement peut faire ses choix en matière de bilan et de projet. On a voulu limiter les effets de ce délai court en vous proposant ce document, travaillé par les VP, discuté en équipe. il y a des redondances certaines sont largement voulues.
F.Meilliez: sur la question du délai. on a posé la question, la réponse en terme diplomatique: l'établissement qui déposera au delà du 15 sera peut-être examiné après. La discussion est du côté des présidents d'université. Le coeur du processus on s'est inspiré des systèmes complexes dans le vivant. Pour compenser le délai qui est trop court, on passe par des phases qui se font en parallèle. On s'est dit que le meilleur moyen est que chacun ait la possibilité de s'exprimer par une voix si il le souhaite. Un individu donné peut s'exprimer via plusieurs voix. Important de savoir ce que pense telle liste, telle composante, tel service.
Laurence Marsalle (CEVU): quand le “rien” est-il consulté ? Il aurait fallu demandé que l'avis soit approuvé par le conseil de laboratoire et de composante. Il y a des structures qui existent.
Y.Secq: Ne soyons pas dupes et hypocrites avec nous même sur le nombre de contributions. Vous souvenez-vous de Quelle Université Demain ? et pourtant le contexte était d'autant plus impliquant! Vous ne risquez pas de récuperer 2000 contributions. Personnellement, cela m'interroge sur la nature de notre “communauté” (ou plutôt collectivité) universitaire. Je ne m'adresse pas au Président, mais à l'ens-ch. Est-ce raisonnable de travailler dans ces conditions ? Une fois de plus on va essayer de faire “au mieux”, ce n'est pas parce que l'on descend rapidement la montagne que l'on va dans la bonne direction. Démarche rationnelle: hypothèses, expérimentations, évaluations, analyse, évolution. Ici, on supprime les trois premières phases, on procède directement à des propositions sans analyse réelle. (non dit: Je ne me suis pas engagé dans les ordres ... et parfois j'ai l'impression que nous abdiquons collectivement et ne sommes plus capables d'assumer notre responsabilité collective.
P.Rollet: réponse sur les directeurs de composantes. On les laisse organiser cette concertation car ils ont été élus. Je veux bien rendre obligatoire la consultation, mais pourra t on les organiser ? On peut demander de faire apparaître les contributeurs pour évaluer la “base” qui est derrière. Si on avait le temps, on aurait imposé cette consultation. Sentiment que l'on ne serait pas au courant de ce qui se passe. On est quelque part entre on a tout le temps et on a pas de temps et pas d'information. On a de multiples points d'entrée, qui ont une responsabilité de solliciter nos collègues pour qu'ils réagissent le plus possible.
M.Aymé: On a pas le choix. Mais on a une opportunité de donner du plus avec cette méthode. Je vais garder les thèmes de la communication et vie internationale sur lequels je pourrai donner des idées. On y va et puis on fonce.
P. Dréan: vu les délais, que le CA doit se prononcer le vendredi qui précède l'envoi du document (le 11 juillet). Pourquoi ne pas avoir transmis le document définitif directement ?
P.Rollet: on pourrait travailler comme ça, mais je n'ai pas envie de travailler comme ça. Il n'y a pas eu consultation des directeurs de composantes et de laboratoies, mais motivation et c'est ce que l'on fait aujourd'hui pour les conseillers.
M.Aymé: suggestion sur la communication: si je fais une proposition qui va accepter quoi et comment ?
Frédéric ?: on reproche souvent de ne pas être consulté. bien sûr on peut parler des délais, mais on a l'opportunité de participer. Je vais pouvoir donner mon opinion. Faisons des propositions.
M.Nait: comment pourra-t-on expliquer les propositions que l'on portera ? Est-ce que les personnes/listes pourront venir défendre leurs propositions ? Il faudrait aussi que l'entreprise s'ouvre sur l'université.
P.Rollet: Cela peut apparaître dans le document de proposition. C.Vuylsteker: un CA fin septembre pour synthétiser les remontées faites par les différents canaux.
P.Louart: le modèle proposé est intéressant. On n'arrive jamais à avoir l'information exhaustive et à un moment il faut trancher. Il y a beaucoup d'information qui sont dans notre manière de voir les choses. rejoins Yann sur le fai qu'il faille profiter de cela pour commencer un travail de communication plus approfondie au sein de notre université. Comment contribuer si l'on ne comprend pas la situation ? Commencer à travailler la communication à travers ce processus, oui avec un débat fin septembre (proposition de Christophe). Une fois que l'on aura le projet et que l'AERES et le Ministère prendront tout leur temps, nous pourrons travailler à sa mise en oeuvre.
P.Rollet: pour fin septembre, d'accord avec la proposition, mais aura-t-on le temps de faire la synthèse. Si le document n'est pas accepté par le CA le 10 octobre, on le repasse 15 jours après. Tout ce que l'on propose c'est le projet d'établissement, j'ai le sentiment que l'on peut arriver sur un consensus.
B.Desprez: Solution extrêmement courageuse car va demander beaucoup de travail, mais motivera sûrement tout le monde. C'est quand même une première. Il y a deux enjeux: faire adhérer tout le monde à un projet, en tout cas le maximum, et là peut-être que les délais sont courts, un autre objectif qui est de rendre une copie. Quel va être l'impact des choses qui auront été envoyé ? Couler dans le marbre ? A quoi cela va servir ?
P.Rollet: CA fin septembre, doc. préparatoire le plus possible en avance. Possiblité que vos contributions soient accompagnées d'une note de synthèse. Processus à la fois interne et externe,plus important en interne, mais le plan externe concerne l'attribution de nos moyens. La date est fixée au 21 juillet, mais si des éléments importants arrivent après, ils seront pris en compte.
C.Vuylsteker: pas d'aspect formation des enseignants dans la FTLV. Aspect contractuel et précarité, souhait de résorber. Inquiétude sur les modulations de services, l'évaluation. Important que l'on puisse accomplir l'ensemble de nos missions. Remarque sur la modulation de service. Pas assez de détail.
P.Rollet: illustre la nécessité d'un travail collectif sur ces choses là.
? : Idem pour le responsable de la formation au niveau des services communs. affirmer notre attachement à cette politique de formation serait une déclaration importante.
P.Jacques: les moyens de notre ambition. Afficher notre projet avec nos priorités avec les moyens nécessaires en face. Sur l'internationalisation de la recherche, tout le monde va en parler, si on veut se distinguer, il faut que l'on réflechisse aux pays asiatiques. On a plein d'initiatives dispersées, il faudrait structurer cela.
P.Rollet: Content de ces remarques On a des ambitions, il faudrait que l'on ait une vraie stratégie au niveau international. Rappeler l'attachement de l'université à la pluralité et l'équilibre de ses missions.
N. Postel: Et si le plan Campus est accepté ? On réécrit tout ?
IMPORTANT DE FAIRE UNE REMONTEE O&I clairement identifiée comme telle. Pas un contre-projet, mais une synthèse réaction/proposition de la liste. Insister sur les aspects organisationnels et les principes, les critères.