/ oi / cr / 2006-04-06-cevu
Bonjour, désolé pour le retard dans l'expédition de ce compte-rendu. Peut-être est-ce l'inanité de cette réunion qui m'a ralenti dans la rédaction et l'envoi de ce mail ...
-- Le Président prend la parole :
Côté législatif: à partir du moment où l'on définit des modalités d'examens on a l'obligation de respecter cet engagement. Il peut cependant y avoir dérogation si l'établissement vit une situation exceptionnelle. Du point de vue du droit: c'est généralement pour une grêve des services publics. Cependant, on peut considérer que le blocage dans sa durée est important et désorganisateur.
Cette situation pose plein de problème, notamment pour les étudiants étrangers, les étudiants en fin de L2 pour les éventuelles intégration en écoles ingénieurs/commerce/gestion ...
Il faut adopter des dispositions permettant d'avoir des conditions admissibles pour chacun.
Comment assure-t-on les enseignements et le déroulement des épreuves ?
Le président propose un premier texte :
Avant cela, quelques remarques sur les initiative prises par différents UFR: les enseignants sont prêts, utilisation possible du samedi ou des vacances de Pâques qui ont été proposé ...
Deux propositions dans le texte:
- les enseignements se prolongent au delà du 15 mai 2006 entraînant le décalage des deux sessions d'examens prévues.
- les mesures prises antérieurement à son initiative, à savoir:
absence d'enseignements, de contrôles et d'examens en juillet et août, soient maintenues.
Le point critique reste la date de reprise effective des enseignements ... Si la reprise est rapide, la 2ième session pourrait avoir lieu fin juin. Sinon ...
=> intervention un peu confuse d'un élu: il demande à ce que l'on rétablisse une équité entre les enseignements. Demande à ce que l'on place la barre à 4/5 des enseignements pour que le diplôme puisse être validable. => Réponse: pas de barre fatidique, aux enseignants de faire preuve de pédagogie pour terminer le S2 dans les meilleurs conditions possibles.
Du coup, modification du texte pour ajouter: rôle du directeur des études veillent à l'égalité de traitement entre les étudiants.
Intervention du directeur de l'IUT: cas des étudiants en attente de validation du premier semestre en compensation. Problème d'autant plus criant pour les formations courtes (DUT et AS).
Intervention d'étudiant concernant les étudiants Erasmus. Notamment sur les bourses conditionnées par les résultats. => Tout le monde est conscient de la situation, chacun prendra sûrement les dispositions nécessaires pour arranger ce genre de situation.
Intervention Mr Bondus (?): Différence entre enseignement dispensés et charge de travail personnelle. On ne raisonne que sur le premier point. Question pratique sur les coûts des polys pouvant être donnés pour favoriser le travail personnel. => réponse attention au 'trop plein" : plutôt insister sur les fondamentaux que vouloir à tout prix faire tout ce qui était prévu (au risque que rien ne soit retenu). => intervention Bocquet sur à quoi sert l'Université et les enseignants si les étudiants peuvent apprendre uniquement avec les livres : il va falloir faire preuve de pédagogie. Inapplicable dans les formations expérimentales.
Une pierre d'achoppement sur la 2ième session d'examen: y-a-t-il report en septembre ? La où il n'y a pas de blocage on reste sur le calendrier initial. Président: Là où il y a eu blocage: il est impossible de respecter le calendrier initial (modification de principe, les dates précises ne pourront être connues que lorsque les enseignements auront repris) Hypothèse la plus probable: 1ère session en juin, 2ième début septembre.
Mr Caron: une formation est perturbée dès qu'au moins une UE a été perturbé. Il ne faut pas qu'il y ait de traitement différencié pour les différentes UE.
Mme Costeur: problème des options, les créneaux de sport sont
toujours utilisés et considérés comme des variables d'ajustement.
Voilà, encore désolé pour le retard dans l'expédition de ce mail. Mais ous aviez tous reçu la proposition qui a été voté dans les heures suivant le CEVU.
Cordialement, Yann SECQ.
PS: Pas de compte-rendu pour le CAR/CEVUR concernant les promotions
PRAG/PRCE : on se demande à quoi l'on sert ! L'Université n'a aucun
contrôle sur l'évolution de carrière de ces personnels 