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Bonjour à tous,

vendredi dernier avait lieu le dernier CEVU avant la coupure estivale. J'ai eu un empêchement qui m'a fait arriver à 15h (soit 1h après le début de la session). Malheureusement pour moi, ce CEVU a été le plus court depuis que j'y participe : 1h40 montre en main ! (Nous n'étions d'ailleurs qu'une petite trentaine ...)

Le compte-rendu ci-dessous est donc plutôt succinct, et il faudra attendre le compte-rendu de la direction pour savoir ce qu'il s'est passé en début de séance.

L'ordre du jour était le suivant :

• Informations LMD,
• Modalités générales du contrôle des connaissances et des conditions de délivrance du diplôme d'ingénieur EPUL,
• Questions diverses.

Le premier point sur les informations LMD.

Lorsque je suis arrivé, le débat se concentrait sur la création d'un nouveau service appelé SUP (Service Universitaire Pédagogique). Voici les principes et missions de ce service :

"Le Service Universitaire Pédagogique est une structure de coordination, d'animation, de gestion, d'appui et de soutien à la formation et aux innovations pédagogiques. Il doit être en mesure de s'adapter aux attentes des étudiants et des enseignants ainsi qu'aux évolutions pédagogiques et technologiques. Sa finalité est l'amélioration de la qualité de l'enseignement. Le SUP est une structure placée sous la responsabilité du vice-président Formation."

Cela devrait être une structure légère (ie. peu de personnes dedans) coordonnant les services existants (SUAIO, Cellule Formation, CRI, CRL ...).

"Les cinq principales missions identifiées pour ce service sont :

• "Coordonner les différentes actions" Physique itinérante, TPE dans les lycées, journées portes ouvertes ...
• "Animer la vie pédagogique de l'établissement" Semaine d'accueil, secrétariat pédagogiques, équipes pédagogiques, suivi des différents parcours ...
• "Gérer les aspects transversaux" Développement d'outils d'aide à l'orientation, gestion des enseignements transversaux, organisation et gestion du tutorat, gestion des salles (hors équipement), création centre de ressources langues et informatique instrumentale.
• "Participer aux actions d'évaluations" Evaluation des enseignements, évaluation des formations, certifications (CLES, C2I), suivi des stages.
• "Contribuer à l'amélioration pédagogique de l'enseignement" Formation continue des enseignants, formations des tuteurs, aide à la création des nouveaux supports d'enseignement, développement d'outils d'auto-évaluation et d'auto-formation, réflexion sur l'innovation pédagogique ..."

Les discussions ont notamment porté sur la gestion des stages. Et plus particulièrement sur la gestion des contacts entreprises (ie. perception de la taxe d'apprentissage) et de la gestion des connaissances acquises sur le tissu économique de la région par les encadrants : il faudrait que ces expériences soient capitalisées. Cela permettrait d'avoir une liste de 'bonnes' entreprises, mais aussi une synthèse claire de l'ensemble des contacts entre l'université et les entreprises proposant/embauchant des stagiaires.

Attention : nous avons jusqu'au 15 septembre pour faire remonter nos propositions/commentaires/critiques sur le SUP.

Le deuxième point concernait les modalités de contrôle de l'EPUL.

Pas grand chose à dire de ce côté là. Il manquait des informations concernant les pré-requis nécessaires, et un ajout au niveau du chapitre 4 sur le niveau requis en anglais. La CPI met une pression considérable sur les langues (particulièrement sur l’anglais). Il faudra que les élèves obtiennent un niveau B2 (équivalent à un score de 750 au TOIC). Les frais du concours seront pris en charge par l’école.

Les discussions ont ici porté sur le choix du TOIC ('choix' façon de parler : la CTI l'impose quasiment !). Certains membres du CEVU ont exprimé leur regret sur le fait que le choix de l'organisme tiers de contrôle (TOIC, TOEFL, First Certificate) ne soit pas effectué au niveau de l'université, et ne soit pas uniforme sur l'ensemble des établissements. Mais bon, les écoles d'ingénieurs ne dépendent déjà pas du même ministère, alors ...

Le troisième point : les questions diverses.

Quelques questions sur les modalités d'évaluation et plus particulièrement sur la réduction souhaitable du nombre d'évaluation, ce qui permettrait peut-être aussi une meilleure répartition. Ce qui nous ramène au problème des épreuves de synthèse plutôt que des évaluations effectuées par matière ... Sujet polémique, comme vous vous en doutez !

J'ai posé la question qui m'avait été soumise par Mr Delbreil :

~~"Quelles serons les dotations en heures allouées aux différents formations LMD ?"~~

Ce à quoi on m'a répondu qu'il existait les critères San Remo, avec les fameux H/E. Que malheureusement les réajustements de ce ratio, n'avait lieu que de temps en temps, et plutôt avec du retard. La dotation obtenue par l'université est globale, libre à nous ensuite de la répartir entre les différentes formations. Pour l'instant, les attributions resteront sensiblement les mêmes qu'actuellement (avec une moyenne entre les dotations maîtrises et DESS). Le président insiste sur le fait qu'un des objectifs du LMD était aussi de diminuer le présentiel (temps passé 'physiquement' devant les étudiants). Il admet cependant que les problèmes liés à la reconnaissance du travail effectué dans un cadre non-présentiel sont loin d'être résolu ...

Voilà pour le dernier CEVU de cette année universitaire. N'hésitez pas à nous faire remonter vos remarques / critiques / propositions : nous n'avons pas toujours un avis sur tout. Sans 'feedback' de votre part, nous ne pouvons vous représenter efficacement

Cordialement, yann.

Remarque : Si Christophe MARILLIER est toujours inscrit sur cette liste, pourrait-il se manifester et expliquer la raison de ses absences perpétuelles lors des CEVU ? Je n'arrive pas à trouver ses coordonnées dans l'annuaire de l'USTL : a-t-il changé d'établissement ?